Le médaillon maudit


Pour sa fête, Jasmine reçoit un cadeau inattendu: un médaillon gravé à son nom.

En portant son nouveau bijou, des phénomènes étranges se produisent. Elle a même l'impression de voir et d'entendre des choses qui n'existent pas. Inquiète, l'adolescente s'interroge sur les secrets de ce mystérieux objet. 

Menace au camp



Pénélope doit passer son été dans un camp. Son été s'annonce bien ennuyeux jusqu'à ce qu'un garçon disparaisse dans les bois.

Une terrible bête rôde au fond de cette forêt interdite.

Le secret enfoui


Un soir d'automne, Raphael apprend la mort de son chat. En creusant dans son jardin pour l'enterrer, il fait une étonnante découverte. Des contenants qui renferment des carcasses...

Tout porte à croire que ces chats-là seraient morts brutalement.

Cette fouille macabre entraîne une dangereuse enquête sur de sombres secrets.



Entrée interdite



Arthur, Aglaé et Tessa se retrouvent coincés dans un centre d'achat. En franchissant une porte interdite, ils s'aventurent dans les profondeurs du bâtiment. 

Un lieu inquiétant où le danger peut surgir à tout instant.

Terreur sur l'île



Alexy est invité à passer quelques jours sur la Grosse île avec sa soeur et ses amis. L'ambiance est à la fête, surtout avec l'organisation d'un rallye nocturne. 

Mais un simple jeu peut s'avérer beaucoup plus dangereux...

L'ombre du rôdeur


Depuis quelques jours, l'ombre d'un rôdeur plane sur la ville. Amatrice de films de peur, Alice ne prête pas attention à cette rumeur. 

Mais de troublants indices s'accumulent et finissent pas l'inquiéter.

Elle doit alors se rendre à l'évidence: un individu la poursuit et met sa vie en danger.


10 questions à MATHIEU FORTIN

Entrevue par Alain Cummings


Question - As-tu toujours su que tu voulais devenir écrivain ?
RéponseDepuis le début de l’adolescence, dans mes rêves les plus fous. Raconter des histoires a toujours été une passion pour moi. J’ai commencé à écrire sérieusement vers l’âge de 16 ans, puis j’ai publié mon premier texte en revue à l’âge de 23 ans. Ensuite, mon premier livre à 29 ans… et maintenant, j’en ai 40, écrire est mon métier à temps plein depuis quelques mois! 


QParle-nous de ton tout premier roman et de comment tu en es venu à le publier.
RLe loup du sanatorium est un court roman pour ados. Mes amis de la maison d’édition Les Six Brumes m’ont parlé de leur nouvelle collection de romans courts qui brassent et j’avais ce manuscrit, trop long pour une publication en revue, trop court pour la plupart des maisons d’édition… C’était idéal. Le premier tirage s’étant écoulé hyper rapidement, même s’il n’était pas disponible en librairie, il a connu un second tirage qui s’est vendu assez vite… et depuis, il dort dans mon ordi, en attendant une éventuelle réédition.


QTous genres et auteurs confondus, y’a-t-il un livre que tu as lu et qui t’a particulièrement marqué ?
R - Naufrage, de Biz. La perte de l’enfant, la culpabilité. C’était un excellent roman, un sujet bien maîtrisé et une belle plume.


QTon roman L’ombre du rôdeur paraîtra bientôt dans la collection Frissons. Est-ce que ce sont les éditions Héritage qui t’ont demandé de leur écrire une histoire ou si c’est toi qui les a contactés ?
RJ’ai fait le premier contact en pensant aux Mini-frissons. Le roman Route 175 n’était pas encore sorti, je ne savais pas qu’il y avait des « vrais » romans Frissons par des auteurs québécois.

L’ébauche de mon roman était faite, j’ai complété le manuscrit puis nous l’avons beaucoup travaillé pour obtenir le résultat final. Maintenant, j’ai hâte d’en écrire un prochain!


QAvais-tu déjà lu les livres de la collection Frissons originale ? (et si oui, lequel ou lesquels as-tu préféré ?)
RJ’en ai lu beaucoup, parce que ma sœur les collectionnait! Je ne pourrais pas dire avec précision lequel était mon préféré, c’est flou dans ma mémoire. Il faut dire que je lisais tellement de livres différents que souvent, je ne sais plus trop ce que j’ai lu ou pas à cette époque! Je pouvais lire facilement 3 livres par semaine scolaire, et une dizaine par semaine l’été…


QComment en es-tu venu à trouver l’idée pour écrire L’ombre du rôdeur ?
RJ’ai fait un projet dans une maison des jeunes où les pré-ados ont préparé avec moi le plan d’un roman. J’ai ensuite écrit un bout de roman qui est devenu la trame de base de mon roman Frissons.


QT’es-tu inspiré de quelqu’un de ton entourage pour créer ton personnage principal ?
RMa Alice est une ado normale, une bonne petite fille, donc inspirée de quelques ados que j’ai vus en action dans les dernières années dans des rencontres scolaires…


QLa collection Frissons est destinée aux jeunes lecteurs, mais elle a quand même été très marquante pour bien des lecteurs durant les années 90, et aujourd’hui beaucoup d’adultes lisent les nouveaux Frissons par nostalgie. Qu’est-ce que ça te fait de savoir que ton roman sera acheté et lu par des lecteurs qui ont le même âge que toi ?
RC’est étrange de penser que la collection vise un lectorat double.  J’espère que les amateurs de Frissons trouveront dans leur lecture de ce roman la même saveur que dans leurs souvenirs de la collection. J’espère aussi que ça donnera envie aux lecteurs de découvrir mes autres livres! Il y a d’ailleurs un clin d’œil à deux de mes autres livres dans celui-là!


QPeut-on espérer une autre collaboration de ta part pour la collection Frissons ?
RJe l’espère vraiment. Je rencontre d’ailleurs mon éditeur au salon du livre de Québec pour en parler!


Q En terminant, as-tu d’autres projets d’écriture en cours dont tu pourrais nous parler ?
RJe devrais publier un autre roman chez Héritage à l’automne, dans une autre collection… j’y travaille en ce moment… et bien sûr, j’ai plein d’autres trucs non-officiels à venir! 


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