Fête sur la plage / No 12

La plage est merveilleuse... jusqu'à ce qu'on y rencontre la mort.

C'est la plage, l'endroit où se rencontrent les jeunes. Karine vient de rompre avec son petit ami et veut s'amuser... surtout depuis que deux garçons s'intéressent à elle: l'un, très beau, très gentil, et l'autre, délicieusement dangereux.

Mais l'été et la plage prennent un tour tragique quand Karine se rend compte que quelqu'un est vraiment très près d'elle - suffisamment près... pour tuer!

La prochaine fête sur la plage sera-t-elle sa dernière?
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Même si l'identité du coupable est plutôt évidente, Fête sur la plage reste un bon livre et c'est un modèle typique du Frissons classique: appels anonymes, menaces gribouillées dans les fenêtres, mauvaises blagues pour faire peur à l'héroïne... R.L Stine ne réinvente rien avec ce roman, mais il réussi quand même à nous distraire.


4 commentaires:

Whatever a dit…

J'avais bien aimé celui là, même si ça n'a jamais été mon préféré.

Tropcool2010 a dit…

Mon auteur préféré des Frissons est Sinclair Smith. Le premier que j'ai étant Obsession, j'adore tous ses livres ainsi que sa manière d'écrire.

Le lecteur a dit…

J'aime bien Sinclair Smith aussi, mais je n'avais vraiment pas aimé Obsession la première fois que je l'ai lu... cependant je l'ai trouvé moins pire quand je l'ai relu.

Rnovember8 a dit…

Ce livre est effectivement un R.L Stine typique avec ses appels anonymes, ses histoires d'amour et son héroïne plus ou moins attachante. C'est un bon livre, sans plus qui ressemble plus à un ramassis de pleins de Frissons qu'à une nouvelle histoire. De plus, le fait que l'héroïne s'appelle Karine comme dans beaucoup d'autres Frissons et qu'il y ait encore un Jérémie ou Jérôme (je dis toujours le mauvais nom alors je vais me contenter de mettre les deux...) m'a beaucoup mêlée... Je ne comprends pas pourquoi les traducteurs de Frissons tiennent tant à toujours répéter les mêmes noms... Je sais qu'au nombre qu'il y a, il était carrément impossible de ne pas en répéter, mais je deviens agacée que tout le monde s'appelle Rachel, Karine, Jérôme, Jérémie ou un autre nom populaire de l'époque...