Le camp de la terreur / No 41

Le passé est sans pitié.
Il t'oblige à supplier.

Presque tout le monde au camp du lac Argent a peur de quelque chose: des araignées, des serpents, de nager dans le lac.

Mais il y a une peur plus profonde, plus sombre, que partagent certains des moniteurs. La peur que leur terrible secret ne soit découvert.

Pendant sept ans, ils l'ont caché - depuis cet été où ils avaient été campeurs ensemble. L'été où l'un des campeurs n'est pas rentré chez lui vivant.

Maintenant, quelqu'un utilise leur secret - et leurs peurs - pour jouer un effrayant jeu de vengeance. Un jeu qui pourrait devenir mortel.
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Ce que j'ai trouvé particulièrement intéressant dans Le camp de la terreur, c'est que la vie de Rachel, l'héroïne, n'est pas vraiment menacée. Bien qu'elle soit monitrice dans le camp de vacances, elle ne fait pas partie du groupe de moniteurs qui ont été responsables de la mort du jeune garçon, sept ans plus tôt et qui sont attaqués par quelqu'un qui utilise leurs pires peurs contre eux. Ici, l'héroïne n'est que le témoin du drame qui se prépare à la colonie de vacances.


1 commentaire:

Rnovember8 a dit…

Dans le camp de la terreur, il y avait beaucoup de personnages (ce qui s'avérait mêlant à la longue), mais très peu de suspects, puisque, si on portait attention eux indices, on savait très vite que ça ne pouvait vraiment pas être certains personnages. Mais, comme le dit la critique, il était intéressant que l'héroïne ne soit pas vraiment menacée et que le coupable ne cherchait pas à tuer les gens. Par contre, je dois avouer que l'action commençait peut-être un peu trop tard étant donné la durée du livre et que le livre finissait sur une note un peu trop étrange, et on ne savait pas vraiment si le coupable en avait fini avec ses tours ou s'il allait recommencer. Mais Le camp de la terreur reste un Frissons qui est bon, mais il y en a des vraiment meilleurs dans la collection...